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Aurore Jurga, avec l’actualité luxembourgeoise

« Soutenir les personnes en souffrance psychologique »

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

Aurore Jurga. – « Mon travail consiste à soutenir et à accompagner des personnes adultes en souffrance psychologique. J’aide les personnes à identifier et à comprendre ce qui leur arrive, à développer avec elles des outils thérapeutiques concrets et adaptés à leur quotidien, afin qu’elles puissent (re)trouver un mieux-être psychique ainsi qu’une qualité de vie. Je me forme également en psychothérapie intégrative afin d’enrichir mon expertise clinique et d’offrir un accompagnement de qualité. »

Vous venez de rejoindre le Paperjam+Delano Business Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussée à le faire?

«Mon objectif est de créer du lien social, de mieux appréhender les enjeux psychologiques et sociaux avec les différents acteurs économiques. La santé mentale concerne chacun d’entre nous, quel que soit le secteur d’activité. Trop souvent, la dimension humaine est oubliée au détriment des exigences de la société et de notre environnement qui évolue rapidement. Un déséquilibre, quel qu’il soit, peut vite s’installer. La santé mentale est dès lors cruciale pour maintenir ou rétablir un équilibre.»

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Je souhaite sensibiliser le public à la santé mentale et contribuer aux échanges de bonnes pratiques professionnelles. L’idée est d’éveiller la curiosité et de développer un esprit de bienveillance envers soi-même et envers les autres. En effet, comme défini par l’Organisation mondiale de la santé en 1948, ‘la santé, ce n’est pas seulement une absence de maladie, c’est aussi un état total de bien-être physique, psychologique et social’. Elle est garante de nos succès.»

« Comment prolonger le bénéfice de ses vacances ?  » 

Le journal L’Essentiel, avec Marine Meunier.

Marine Meunier  de  L’Essentiel Luxembourg m’a contacté pour  donner des   conseils psychologiques sur comment  prolonger la durée  des bénéfices de ses vacances, ici ou ailleurs, à la routine de notre  quotidien, notamment lorsque nous reprenons notre train de vie habituel, le travail, etc.

En vacances, on prend son temps et on profite du moment présent. La rentrée à son rythme, c’est également possible. « On n’hésite pas à s’accorder des temps de pause, des moments pour soi et avec les autres », suggère Aurore Jurga, psychologue à Luxembourg. Qui dit rentrée dit souvent rythme effréné et le stress n’échappe pas à la règle.

La bonne organisation est une des clés: « Il faut pouvoir travailler à son rythme, prendre le temps pour chaque tâche et surtout accepter l’imprévu. Quand ça arrive en vacances on s’adapte, explique encore Aurore Jurga. Et si on stresse trop, la relaxation et divers exercices comme le yoga, la marche consciente ou encore des exercices de respiration peuvent aider ».

Il est primordial de « prendre soin de soi et d’être à l’écoute de notre corps » avant toute chose, répète Aurore Jurga.

L’article complet rédigé par Marine Meunier est à lire sur le lien suivant :   L’Essentiel – Comment prolonger le bénéfice de ses vacances ? 

« Les gens sont de moins en moins civilisés. »

Le journal L’Essentiel, avec Pascal Piatkowski.

Journaliste à L’Essentiel, Monsieur Piatkowski m’a interviewé sur la problématique des violences faites  entre les automobilistes.

Aurore Jurga, (…) psychologue, conseille (…) de « calmer le jeu » en pareille situation. « Face à l’agressivité, il vaut mieux ne pas répondre par l’agressivité, mais plutôt prendre de la hauteur et communiquer. Si aucune entente n’est possible, mettez-vous alors en sécurité et appelez les instances compétentes ». La psychologue redoute que cette agressivité au volant devienne de plus en plus fréquente à l’avenir: « Nous sommes régulièrement confrontés à des scènes de violence, dans les médias ou dans notre vie quotidienne. Cela peut renforcer les manifestations impulsives, chez certaines personnes ».

L’article complet est à lire sur le lien suivant : L’Essentiel – Les gens sont de moins en moins civilisés. 

« Les animaux de compagnie, victimes de la sortie de crise? »

Virgule Luxembourg, avec  Anne-Sophie De Nanteuil.

Anne-Sophie De Nanteuil, journaliste sur le site Wort.lu, s’est  intéressée à la question du réconfort par les animaux  de compagnie durant la pandémie liée à la Covid-19. Elle a souhaité m’interroger, en autres, sur les  bienfaits des animaux de compagnie sur l’humain en général.

Pour Aurore Jurga, psychologue à Luxembourg-Ville, l’arrivée d’un compagnon à quatre pattes viserait avant tout à apporter un  soutien affectif et émotionnel  à leurs propriétaires, les animaux ayant « la capacité à apprivoiser nos inquiétudes, apaiser nos angoisses et calmer notre anxiété ». Un phénomène que les spécialistes n’hésitent pas à qualifier de «zoothérapie », voire de «ronronthérapie» en référence au pouvoir apaisant des vocalises émises par un félin. (…) Certains animaux ont la faculté de détendre les muscles de l’homme, le rythme cardiaque ainsi que l’esprit par leur ronronnement », note la psychologue Aurore Jurga.

Retrouvez l’article complet sur Virgule.lu

« Nine ways to cope at Christmas after losing a loved one »

The Luxembourg Times, with Heledd Pritchard.

Heledd Pritchard, journalise et rédactrice en chef adjointe chez Luxembourg Times, a souhaité s’entretenir avec moi  pour  savoir comment faire face à un premier Noël après  avoir perdu récemment un être cher.

Where to spend the Christmas day ? 

“Some will try to reconnect with the little things that have always made them happy at Christmas, such as being at home, and others will want a big change, even a change of place and will try to find comfort elsewhere,” psychologist Aurore Jurga said.

Talk about the deceased :  

“(…) try to make it a positive experience and make your lost loved one part of the day.”

“It’s important to share memories and anecdotes about the person who has left us and be surrounded by people who are close to you, with whom you can talk about your loved one,” Jurga advised.

Don’t avoid all celebrations. 

While you might not always feel like celebrating, it is important not to avoid all form of celebrations, Jurga warned. “If you avoid all celebrations you risk isolating yourself and cutting yourself away from others, which can lead to an even greater void,” she said. “It’s a way of seeking emotional and social support. It’s also a way of protecting yourself by regaining self-confidence. It could be even more difficult to grieve if you cut yourself away and it could lead to depression.”

New Year and the years ahead. 

The new year is a similar process and it is important to talk to your closest circle, Jurga said. “It’s important to keep contact with supportive people with whom you can express your feelings,” she said. “You must talk, whether it’s positive or negative and feel supported over the new year. A person you lose stays in your heart and when the new year comes, you want to try to build new memories.”

L’article complet est rédigé en anglais et est à retrouver sur :  The Luxembourg Times

Pour plus d’informations :

Veuillez prendre contact par téléphone au +352 661 355 948 ou par email : psychologue.aj.lu@gmail.com

Pour rester informé et sensibilisé, n’hésitez pas à suivre la page Linkedin ou la page Facebook : Aurore Jurga – Psychologue / @PsychologueAJ

Consultations  au Cabinet de Psychologie de Belair.